Geisha
C'est par curiosité et sur les conseils d'une amie que j'ai lu Geisha. Après des années d'aïkido, la culture japonaise est un univers que j'ai l'impression de commencer à connaître et d'à peine effleurer, et au-delà d'un roman facile comme il m'en falait ce week-end, j'espérais en apprendre un peu plus sur les Geishas. Justement.
L'ensemble est bien écrit, malgré des comparaisons souvent faciles. Ce qui est certain, c'est que j'en sais un peu plus... mais au final, je me pose toujours les mêmes questions. Car après ma lecture, je suis partie en quête d'images de kimonos et de chignons de geishas (une autre des qualités de ce roman réside dans la couleur et la vivacité de ses descriptions)... et j'ai trouvé plusieurs articles sur le roman. Dont un sur le procès intenté à l'auteur pour la calomnie qu'il ferait de l'univers des Geishas, a priori sobres par excellence, et grandes joueuses de celui-qui-boira-le-plus dans ce qu'écrit Arthur Golden...
Une image du Japon qui m'a laissée rêveuse. Jusqu'à commencer à douter, je me suis laissée prendre à croire les personnages, leurs marottes et les bizarreries de cette société trop bridée pour être équilibrée...