Le crime de Paragon Walk (Anne Perry)
En ces
veilles de vacances encore trop lointaines où ma pensée quotidienne est "bon sang, ce que j'aimerais faire cours...", je trouve bon de plonger dans des romans rassurants, où tout est convenu ou
presque, où toute prise de tête est absente et l'univers familier.
Bref, presque une humeur à lire Diana Gabaldon.
Mais n'ayant pas cette dame sur mes étagères, je me suis tournée vers Anne Perry, de qui j'avais acheté une série pour une misère voilà quelques temps.
Est-il bien nécessaire de résumer?
La société victorienne, un crime innommable est commis. Pitt, policier époux de la féministe Charlotte (quelle rebelle! Mariée avec un homme qui n'est pas de son rang social!), est envoyé mener l'enquête. Horreur! Il s'agit du quartier où vit Emily Ashworth, la soeur de Charlotte, ce qui ne manque pas l'inquiéter.
Bien sûr, l'héroïque Charlotte et le fidèle Pitt mènent l'enquête chacun de leur côté, dans des vestibules surchargés pour l'un et dans de folles garden-parties où l'on mange des sorbets pour l'autre. Le courage et les heureux hasards sont au rendez-vous (tout de même, être là au moment où un cadavre se découvre! Quelle chance pour le lecteur!), la surface craquelée d'une société trop rigide s'effrite comme à chaque fois et le coupable ne se dévoile qu'à la dernière page au terme d'un suspens... reposant.
Cela tombait bien, c'est de cela que j'ai besoin: me reposer l'esprit!
Bref, presque une humeur à lire Diana Gabaldon.
Mais n'ayant pas cette dame sur mes étagères, je me suis tournée vers Anne Perry, de qui j'avais acheté une série pour une misère voilà quelques temps.
Est-il bien nécessaire de résumer?
La société victorienne, un crime innommable est commis. Pitt, policier époux de la féministe Charlotte (quelle rebelle! Mariée avec un homme qui n'est pas de son rang social!), est envoyé mener l'enquête. Horreur! Il s'agit du quartier où vit Emily Ashworth, la soeur de Charlotte, ce qui ne manque pas l'inquiéter.
Bien sûr, l'héroïque Charlotte et le fidèle Pitt mènent l'enquête chacun de leur côté, dans des vestibules surchargés pour l'un et dans de folles garden-parties où l'on mange des sorbets pour l'autre. Le courage et les heureux hasards sont au rendez-vous (tout de même, être là au moment où un cadavre se découvre! Quelle chance pour le lecteur!), la surface craquelée d'une société trop rigide s'effrite comme à chaque fois et le coupable ne se dévoile qu'à la dernière page au terme d'un suspens... reposant.
Cela tombait bien, c'est de cela que j'ai besoin: me reposer l'esprit!
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