Orgueil et préjugés(Jane Austen)
A voir fleurir sur nombre de blogs des articles sur Jane Austen, sa prose, ce qui en a été tiré, etc, etc, j'ai fini par avoir envie de m'y plonger moi aussi. Fi de challenge, je suis bien
incapable de m'y tenir, et mes lectures se choisissent toujours sous l'impulsion du moment! Mais j'avais bien envie de m'y remettre, histoire de comprendre ce qui suscitait un tel engouement ces
derniers temps.
Dès les premières pages, un embryon d'explication: Orgueil et préjugés... c'est drôle! Si, si, vraiment, l'humour pince-sans-rire de Mr Bennet, père de cinq filles bonnes à marier et la bêtise crasse de sa femme... tout cela m'amuse.
Heureusement d'ailleurs.
Car au bout d'une centaine de pages, non seulement, je riais moins, mais en plus... la lumière s'est fait dans mon esprit: je l'avais déjà lu. Au lycée, peu de temps après avoir étudié des extraits de Sense and Sensibility. Non seulement, le cheminement jusqu'à la fin m'est apparu par la même occasion, mais les années ayant passé, je me doutais que j'apprécierais moins...
Et oui. Comment le dire. Je suis loin d'être fleur bleue. Le mariage est un concept qui m'échappe, les grands héros romantiques, bof (à quelques exceptions près, si je suis honnête, mais dans le cas de Jammie Fraser, le kilt y est pour beaucoup) et... se demander pendant des centaines de pages si Bingley va demander Jane en mariage et comment évoluent les sentiments d'Elisabeth pour Darcy... ce n'est pas mon truc. A titre de comparaison, j'ai préféré me demander si Dinnie, loser notoire, allait finir avec Kerry, hippie atteinte de la maladie de Chron dans les Petites fées de New York de Millar. Pragmatique, peu romantique, mais... actuel et beaucoup plus proche de ce qui me touche.
Une plume agréable, un monde reposant, mais décidément pas pour moi!
Dès les premières pages, un embryon d'explication: Orgueil et préjugés... c'est drôle! Si, si, vraiment, l'humour pince-sans-rire de Mr Bennet, père de cinq filles bonnes à marier et la bêtise crasse de sa femme... tout cela m'amuse.
Heureusement d'ailleurs.
Car au bout d'une centaine de pages, non seulement, je riais moins, mais en plus... la lumière s'est fait dans mon esprit: je l'avais déjà lu. Au lycée, peu de temps après avoir étudié des extraits de Sense and Sensibility. Non seulement, le cheminement jusqu'à la fin m'est apparu par la même occasion, mais les années ayant passé, je me doutais que j'apprécierais moins...
Et oui. Comment le dire. Je suis loin d'être fleur bleue. Le mariage est un concept qui m'échappe, les grands héros romantiques, bof (à quelques exceptions près, si je suis honnête, mais dans le cas de Jammie Fraser, le kilt y est pour beaucoup) et... se demander pendant des centaines de pages si Bingley va demander Jane en mariage et comment évoluent les sentiments d'Elisabeth pour Darcy... ce n'est pas mon truc. A titre de comparaison, j'ai préféré me demander si Dinnie, loser notoire, allait finir avec Kerry, hippie atteinte de la maladie de Chron dans les Petites fées de New York de Millar. Pragmatique, peu romantique, mais... actuel et beaucoup plus proche de ce qui me touche.
Une plume agréable, un monde reposant, mais décidément pas pour moi!
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