En janvier
Divers et varié :
Ceux qui me connaissent savent que j'ai une affection particulière pour le personnage d'Arsène Lupin. La série de Netflix est passée par là, j'ai cédé (sans grande résistance) aux sirènes qui appelaient à la relecture et me suis plongée dans cet omnibus jamais terminé.
Est-il besoin de le présenter ? Lupin est invraisemblable, parfois colérique, au bord du gouffre et de sa propre perte, mais s'en tire toujours par une pirouette, a les bons alliés et les identités qu'il choisit. Un héros dans toute sa splendeur, les failles en plus qui en font l'humanité, dans une Belle Époque rêvée où les malfrats ne sont pas les plus miséreux et ont souvent le sens de l'honneur. Réconfortant et reposant.
La fabrique du consommateur : une histoire de la société marchande, d'Anthony Galluzzo
Une lecture agréable sur laquelle j'ai du mal à écrire. J'ai le sentiment d'u avoir lu des évidences tant le propos est clair, et je me suis régalée sans réussir à mettre le doigt sur ce que j'avais appris de concret.
Nouvelle plongée dans Le Prince-Marchand de Poul Anderson, motivée que j'étais à lire le quatrième tome qui vient de m'arriver. J'y ai picoré, puis ai commencé le 2e volume, pour le reposer. Allez savoir pourquoi, je ne suis pas d'humeur, je crois que j'ai épuisé mon besoin de terrains connus avec Maurice Leblanc ces dernières semaines.
J'ajoute une quantité incalculable de Scrameustache, de Gaston Lagaffe et de Spirou, dont notre série incomplète a récemment rejoint les étagères accessibles à notre fils. Des perspectives nouvelles et intenses se sont ouvertes à lui, et à nous qui les lui lisons.