La Quête d'Ewilan, tomes 1 et 2 (Pierre Bottero)
Tristement, c'est le décès de Pierre Bottero qui accéléré ma découverte de cette série que je me promettais de lire depuis un bail. Je vais toutefois laisser
cette information de côté pour parler de La Quête d'Ewilan...
Et ce ne sera pas forcément chose aisée.
Tout commence le jour où Camille se retrouve face à un camion qui manque l'écraser de justesse: elle ne doit sa survie qu'au passage fortuit dans un univers autre, où l'accueille un chevalier combattant une étrange créature. Les bizarreries se multiplient jusqu'à ce qu'elle découvre la vérité, accompagnée par son fidèle ami Salim: elle est en réalité originaire d'un monde parallèle au notre, où elle est l'héritière d'un pouvoir qui peut sauver les humains dans une guerre qui les oppose à d'horribles créatures, franchement peu sympathiques.
Bon.
En toute franchise, j'ai souvent pensé à une soirée fort joyeuse lors de laquelle un ami alors très gai avait déclaré philosophiquement que "Le Seigneur des Anneaux n'était qu'un film sur la randonnée." Parce que... c'est ce qui résume le plus fidèlement ces deux premiers tomes. On va dans une ville, on va dans une autre, une troupe se forme, des liens se créent et... tout ce qui m'horripile dans la littérature de jeunesse se réunit, si je suis encore un peu curieuse à la fin du premier tome, les chances que je lise un jour le dernier sont bien minces. Ma déception a vraiment été grande... j'avais lu beaucoup de positif sur l'oeuvre de Bottero et ces romans qui, d'après des collègues, a donné l'envie de lire à certains, et je m'attendais à mieux.
A classer dans ces oeuvres "passerelles", donc, qui ouvrent des perspectives aux non-lecteurs ou profanes du genre... mais au final, je n'ai trouvé dans ces pages qu'une Nième histoire de quête, où tout le monde se fait "des grands sourires", où les gentils s'aiment beaucoup et où les décisions irréfléchies ont toujours raison.
Et ce ne sera pas forcément chose aisée.
Tout commence le jour où Camille se retrouve face à un camion qui manque l'écraser de justesse: elle ne doit sa survie qu'au passage fortuit dans un univers autre, où l'accueille un chevalier combattant une étrange créature. Les bizarreries se multiplient jusqu'à ce qu'elle découvre la vérité, accompagnée par son fidèle ami Salim: elle est en réalité originaire d'un monde parallèle au notre, où elle est l'héritière d'un pouvoir qui peut sauver les humains dans une guerre qui les oppose à d'horribles créatures, franchement peu sympathiques.
Bon.
En toute franchise, j'ai souvent pensé à une soirée fort joyeuse lors de laquelle un ami alors très gai avait déclaré philosophiquement que "Le Seigneur des Anneaux n'était qu'un film sur la randonnée." Parce que... c'est ce qui résume le plus fidèlement ces deux premiers tomes. On va dans une ville, on va dans une autre, une troupe se forme, des liens se créent et... tout ce qui m'horripile dans la littérature de jeunesse se réunit, si je suis encore un peu curieuse à la fin du premier tome, les chances que je lise un jour le dernier sont bien minces. Ma déception a vraiment été grande... j'avais lu beaucoup de positif sur l'oeuvre de Bottero et ces romans qui, d'après des collègues, a donné l'envie de lire à certains, et je m'attendais à mieux.
A classer dans ces oeuvres "passerelles", donc, qui ouvrent des perspectives aux non-lecteurs ou profanes du genre... mais au final, je n'ai trouvé dans ces pages qu'une Nième histoire de quête, où tout le monde se fait "des grands sourires", où les gentils s'aiment beaucoup et où les décisions irréfléchies ont toujours raison.
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