Sans parler du chien (Connie Willis)
Ned Henry, historien, est mobilisé comme l'intégralité de ses collègues pour effectuer des sauts dans le passé afin de retrouver une potiche. Cet objet incarne le mauvais
goût, mais revet une importance extrême pour Lady Schrapnell, richissime femme du XXIe qui financera grassement le laboratoire à la condition que la cthédrale de Coventry puisse être reconstituée
telle qu'elle était avant d'être détruite sous les bombardements.
Ned, donc, est amené à multilier les sauts, au point d'être victime d'un bon déphasage temporel. Au point que son supérieur, Dunworthy, l'envoie se reposer en pleine ère victorienne. Se reposer, vraiment? Ce serait trop simple. Il est en réalité pourvu d'une mission a priori simple: remette un chat à sa maîtresse, la niaise Tossie, ancêtre lointaine de la Lady suscitée. Sauf que... les choses commencent mal. Il manque tout d'abord son contact, puis rencontre Terence, l'empêchant par la même occasion de rencontrer sa future femme, puis multiplie les sources d'incongruités...
Dur de se replonger dans quoi que ce soit après Fascination! Mais Sans parler du chien fut finalement le choix idéal. Un vrai bon bouquin, celui-ci, à classer dans les indémodables qui traversera les époques. Non seulement, l'histoire parvient à être étoffée sans se prendre réellement au sérieux (n'oublions que tout s'enchaîne à cause d'une potiche), le style est relevé d'humour et de références littéraires (et pas seulement celles à Jerome K. Jerome), les personnages sont bien sympathiques (même l'insupportable Mme Mering), et le Nebula était grandement mérité!
Ned, donc, est amené à multilier les sauts, au point d'être victime d'un bon déphasage temporel. Au point que son supérieur, Dunworthy, l'envoie se reposer en pleine ère victorienne. Se reposer, vraiment? Ce serait trop simple. Il est en réalité pourvu d'une mission a priori simple: remette un chat à sa maîtresse, la niaise Tossie, ancêtre lointaine de la Lady suscitée. Sauf que... les choses commencent mal. Il manque tout d'abord son contact, puis rencontre Terence, l'empêchant par la même occasion de rencontrer sa future femme, puis multiplie les sources d'incongruités...
Dur de se replonger dans quoi que ce soit après Fascination! Mais Sans parler du chien fut finalement le choix idéal. Un vrai bon bouquin, celui-ci, à classer dans les indémodables qui traversera les époques. Non seulement, l'histoire parvient à être étoffée sans se prendre réellement au sérieux (n'oublions que tout s'enchaîne à cause d'une potiche), le style est relevé d'humour et de références littéraires (et pas seulement celles à Jerome K. Jerome), les personnages sont bien sympathiques (même l'insupportable Mme Mering), et le Nebula était grandement mérité!
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