Le Testament d'Alceste (Miquel de Palol)
... ou le bref récit d'un abandon.
J'ai donné plusieurs chances à ce roman dans lequel je m'ennuyais profondément. Parce que la construction intrigue, avec des récits encadrés, qui se répondent et font frémir le cadre, et qu'un jeu mystérieux aux allures alchimiques ponctue la réunion de ces personnages imbuvables... mais ils le sont justement trop, imbuvables. Suffisants de leur nombrilisme de gens riches, des hautes spèhres de la sociéte. Ajoutez cela à un cadre digne des 120 jours de Sodome dès les premiers chapitres (grande demeure, lointaine, où tout peut arriver à l'abri des regards et des lois ) du monde, une surenchère dans les sexualités en tout genre... et bien non. J'ai jeté l'éponge, re-tenté, et au bout de 500 très longues pages, zoophilie, pédiphilie, nécrophilie, égocentrismes et nymphomanes sont arrivés au bout de ma patience pourtant grande.
Et Adorée Floupette arriva à point.