Lus en décembre, voire avant

L'arabe du futur - tome 1, Riad Sattouf

C'est vrai que ce n'est pas mal, mais... un peu déçue. Je crois que les sacs en plastique qui traversent le ciel m'ont déprimée.

Cogito, Victor Dixen

Décontraction jeunesse offerte par moi-même aux Utopiales. Rien de révolutionnaire, mais Dixen sait quand même écrire et ça se lit tout seul.

Helstrid, Christian Léourier

Prix des Utopiales de cette année, excusez du peu. Une colonie lointaine, un homme accompagne un convoi qui n'a pas besoin de l'être pour autre chose que l'entretien psychologique des colons. Les choses tournent mal, le dialogue qui s'instaure entre homme et machine rappelle bien des scénarios, dans une tension maîtrisée jusqu'à une fin qui laisse songeur.

Félines, Stéphane Servant

Reçu en SP il y a fort longtemps, j'ai trainé des pieds pour le lire, craignant une histoire mille fois rabachée et relue. La faute à la couverture, à la 4e ? J'avais complètement tord. Un improbable virus touche les adolescentes, qui mutent et s'apparentent à des chats autant qu'à des humaines, semant la panique et exacerbant les extrêmes. Une histoire rythmée et haletante, des personnages complexes, et un ensemble qui dénonce plus d'un travers de notre société. En voilà un qui va rejoindre les conseils de lecture à mes élèves.

Trop semblable à l'éclair, Ada Palmer.

Comment voulez-vous encore lire quoi que ce soit, après ça ? J'aimerais en parler davantage, je ne sais si j'en trouverai le temps. Mais voilà bien un roman qui m'a secouée, et provoqué des émotions de lecture comme je n'en avais pas éprouvées depuis longtemps.

Sky Mundy et les dinosaures, Laura Martin, tome 2

Laissé tomber. Je cherchais de la détente, mais pas du niais non plus, et je n'ai pas tenu malgré les dinosaures.

Vorrh, Brian Catling

Autre titre qui doit rester dans les mémoires... une jungle suintante, oppressante, une ville coloniale, des créatures humaines et d'autres non, dans une atmosphère difficile à percer qui m'a fascinée.

Le Club des punks contre l'Apocalypse zombie, Karim Berrouka

Envie de relecture sans surprise après avoir (enfin !) vu Ludwig sur scène... vous savez quoi ? La 2e fois, c'est toujours aussi bon.