Plaisirs coupables (Laurell K.Hamilton)
Est-il encore bien nécessaire la présenter? Elle s'appelle Anita Blake, tue les vampires (sur mandat bien sûr, il y a des lois que diable) et relève les morts pour son
employeurs. Brage en a réussi un lancement sans faute cette année, qui a déjà appelé une ré-impression. Son nom a fait le tour de multiples blogs, forums, sites spécialisés et j'en oublie
certainement, du coup, je vais vous épargner un Nième résumé.
Disons que c'est une lecture idéale quand on n'a rien d'autre à se mettre sous la dent, les articulations douloureuses d'avoir charriée des meubles et des cartons, et le cerveau parti vadrouiller sur des questions de maçonnerie. On peut aussi en profiter pour se poser de grandes questions comme "Mais qui, de Buffy ou d'Anita, a vu le jour la première?" ou "tiens, mais ça en couche pas dans cette série?"
Je ne suis pas convaincue. L'écriture est celle d'une série, l'intrigue, sans grande surprise, (des méchants, une gentille pas si gentille, de pauvres innocents, des massacres sanglants de gros méchants), l'univers, le notre, sans grand-chose de plus. J'ai un peu l'impression que c'est le niveau 0 de la bit-litt, même si, encre une fois, je comprends qu'un livre facile trouve son public.
Par contre, au risque de radoter, une véritable interrogation sérieuse m'a escagassé l'esprit tout au long de ma lecture: pourquoi, mais enfin, pourquoi, choisir de traduire la série des Anita Blake et non pas celle des Meredith Gentle, tout de même quelques crans au-dessus à tous niveaux? Parce que cette fois la couverture avec une femme nue était justifiée? Parce que c'est bien trop compliqué pour ces pauvres cerveaux francophones? Non mais franchement, là, un truc m'échappe.Et tout aussi franchement, si j'avais découvert Laurell K.Hamilton par Plaisirs Coupables, je n'y serais pas revenue.
Disons que c'est une lecture idéale quand on n'a rien d'autre à se mettre sous la dent, les articulations douloureuses d'avoir charriée des meubles et des cartons, et le cerveau parti vadrouiller sur des questions de maçonnerie. On peut aussi en profiter pour se poser de grandes questions comme "Mais qui, de Buffy ou d'Anita, a vu le jour la première?" ou "tiens, mais ça en couche pas dans cette série?"
Je ne suis pas convaincue. L'écriture est celle d'une série, l'intrigue, sans grande surprise, (des méchants, une gentille pas si gentille, de pauvres innocents, des massacres sanglants de gros méchants), l'univers, le notre, sans grand-chose de plus. J'ai un peu l'impression que c'est le niveau 0 de la bit-litt, même si, encre une fois, je comprends qu'un livre facile trouve son public.
Par contre, au risque de radoter, une véritable interrogation sérieuse m'a escagassé l'esprit tout au long de ma lecture: pourquoi, mais enfin, pourquoi, choisir de traduire la série des Anita Blake et non pas celle des Meredith Gentle, tout de même quelques crans au-dessus à tous niveaux? Parce que cette fois la couverture avec une femme nue était justifiée? Parce que c'est bien trop compliqué pour ces pauvres cerveaux francophones? Non mais franchement, là, un truc m'échappe.Et tout aussi franchement, si j'avais découvert Laurell K.Hamilton par Plaisirs Coupables, je n'y serais pas revenue.
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