Les Misérables (V.Hugo)
Il y a bien longtemps, sans doute quand j'étais encore lycéenne, je m'étais plongée dans les Misérables. Une première fois. Oui, l'histoire est belle, oui,
Victor Hugo écrit bien, mais... trop de romances et de grandes idées, le tout trop étalé pour moi. Alors je l'avais mis de côté.
Un peu plus tard, l'oral du CAPES m'a laissé le choix entre le portrait du gamin de Paris et un poème du XXe siècle dont même le titre et l'auteur m'ont échappé. A l'époque, c'était le sens général du poème qui me manquait surtout, et Hugo avait le net avantage de paraître simple.
Excellent choix, qui m'avait vallu une note inespérée suite à laquelle je m'étais lancée à nouveau ans les Misérables...
Mais toujours pas. Bien trop d'autres livres en attente m'en ont détournée.
Puis cette année, me voilà en charge depuis la rentrée d'un groupe de soutien en FLS, dont les élèves de 4e étudient une version abrégée des Misérables. Lire un abrégé, oh non, jamais, grands dieux, et le faire étudier... loin de moi cette idée jusqu'à ce que je m'y mette aussi.
Parce qu'en fin de compte...
Osons le dire. Le dernier jour d'un condamné, les Contemplations, Hernani et d'autres me fascinent et me passionnent, mais les Misérables m'emmerdaient... et en version light, j'en suis venue à bout en une semaine de tram.
Un peu plus tard, l'oral du CAPES m'a laissé le choix entre le portrait du gamin de Paris et un poème du XXe siècle dont même le titre et l'auteur m'ont échappé. A l'époque, c'était le sens général du poème qui me manquait surtout, et Hugo avait le net avantage de paraître simple.
Excellent choix, qui m'avait vallu une note inespérée suite à laquelle je m'étais lancée à nouveau ans les Misérables...
Mais toujours pas. Bien trop d'autres livres en attente m'en ont détournée.
Puis cette année, me voilà en charge depuis la rentrée d'un groupe de soutien en FLS, dont les élèves de 4e étudient une version abrégée des Misérables. Lire un abrégé, oh non, jamais, grands dieux, et le faire étudier... loin de moi cette idée jusqu'à ce que je m'y mette aussi.
Parce qu'en fin de compte...
Osons le dire. Le dernier jour d'un condamné, les Contemplations, Hernani et d'autres me fascinent et me passionnent, mais les Misérables m'emmerdaient... et en version light, j'en suis venue à bout en une semaine de tram.
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