Le nombril du monde (Roland C Wagner)

Une confiserie d'un soir.

L'Oeil, musicien d'un grouep alternatif, se retrouve à enquêter sur des phénomènes bien étranges qui entourent une vieille pierre au format menhir, cachée dans les bois. Depuis toujours, elle inspire les esprits les plus allumés ou embrumés en cérémonies diverses, mais il semblerait que cette fois, quand même, il se passe un truc.
Et oui. Tous les quatre-vingt-quinze, le cycle cosmique fait que le moment est idéal pour invoquer des démons ou faire sortir d'étranges créatures de leur tombe.

Un roman sans prétention, loin de la profondeur des Mystères de Paris ou d'autres grands romans de l'homme, mais le plaisir de retrouver sa plume et ses inénarrables ambiances.

Un bémol quand même : que de coquilles... les Moutons électriques ne m'ont pas habituées à ça, il doit y avoir une explication rationnelle, mais elles m'ont fait frémir et je n'aime pas sentir mon cerveau tiquer au point de m'extraire de ma lecture...