Lectures inutiles

Que voulez-vous, on est curieux, on croit parfois trouver des réponses dans les livres, on se demande ce qu'on peut bien raconter sur un sujet ou un autre, et on se fait avoir, on lit n'importe quoi...

Dans la série, deux machins sur lesquels je ne m'attarderai pas.

Déjà, celui-là :

Honnêtement, à part pour les bas du front qui pensent qu'il suffit de secouer un dépressif, je ne vois pas bien ce que peut apporter ce texte. Le dépressif est une créature fragile à qui il faut parler gentiment, et comme il est merveilleux, il suffit de lui demander quoi faire pour l'aider : il répondra. Je caricature à peine...

L'autre :

Je m'interroge bêtement sur le sommeil de mon fils. Apport de ce livre ? Néant. Si, j'ai appris le mot myoclonie (vous savez, cette impression de tomber brutalement qu'on peut ressentir au moment ou on bascule de la veille au sommeil ?). Pire, son discours sur le sommeil avec les parents m'a hérissée : il semblerait que les auteurs n'aient pas envisagé qu'un enfant puisse dormir tard avec ses parents dans la même pièce, mais pas dans le même lit, et se permettent d'asséner des idées toute faites sur le sujet, sans sources précises.

Notez bien que je ne suis pas de partie pris sur le sujet, même si j'ai l'habitude lire des points de vue radicalement opposés qui en citent parfois. Heureusement, pas de problème de sommeil ici, car ce n'est pas là qu'on y trouverait des solutions. Mais j'en suis de la revue, comme dirait ma mère, je n'ai plus qu'à me trouver un autre livre sur le sommeil.