Jonathan Livingstone Seagull (Richard Bach)
Voilà quelques jours que j'ai terminé cette brève lecture qui me laisse pour le moins perplexe.
Perplexe car je ne sais qu'en penser et me demande qu'en dire.
Je l'avais choisie car j'ai l'impression d'un nom mille fois entendu, j'avais besoin de l'associer au texte original... et puis, une lecture anglophone, ça ne fait jamais de mal...
L'histoire de Jonathan Livingstone est simple. Il s'agit de celle d'un goéland, avide de liberté, de grands espaces et de voler haut, toujours plus haut, de repousser les limites de ses ailes vers le ciel. Idéal mal perçu par la communauté obtuse des goélands, pour qui l'essentiel est de se nourrir, unique objectif d'une vie morne et sans rêve.
Mis au ban, Jonathan fait la rencontre d'autres goélands, aux pouvoirs surprenants, qui ont le même rêve et le même besoin de liberté...
Oui, c'est très beau tout ça. Très... onirique.
La comparaison sera sans doute flatteuse, mais j'ai eu l'impression d'avoir dans les mains un équivalent anglo-saxon du Petit Prince. Chaque détail prend ici aussi son importance et fait sens, la rêverie dans laquelle entraîne la lecture est proche de celle provoquée par celle de Saint-Exupéry: on sait que tout est imaginaire, mais on se laisse gentiment porter. Oui, "gentiment", comme par une fable ou un conte... et finalement, l'idée forte du texte (je vous laisse la deviner)... ne m'interpelle que peu. Je crois que j'ai lu trop de romans de SF forts, qui poussent la création d'univers et la magie narrative beaucoup plus loin, et que j'ai dépassé la sensibilité nécessaire.
Bref. Je reconnais que c'est un beau texte... mais il ne m'a pas vraiment parlé.
Perplexe car je ne sais qu'en penser et me demande qu'en dire.
Je l'avais choisie car j'ai l'impression d'un nom mille fois entendu, j'avais besoin de l'associer au texte original... et puis, une lecture anglophone, ça ne fait jamais de mal...
L'histoire de Jonathan Livingstone est simple. Il s'agit de celle d'un goéland, avide de liberté, de grands espaces et de voler haut, toujours plus haut, de repousser les limites de ses ailes vers le ciel. Idéal mal perçu par la communauté obtuse des goélands, pour qui l'essentiel est de se nourrir, unique objectif d'une vie morne et sans rêve.
Mis au ban, Jonathan fait la rencontre d'autres goélands, aux pouvoirs surprenants, qui ont le même rêve et le même besoin de liberté...
Oui, c'est très beau tout ça. Très... onirique.
La comparaison sera sans doute flatteuse, mais j'ai eu l'impression d'avoir dans les mains un équivalent anglo-saxon du Petit Prince. Chaque détail prend ici aussi son importance et fait sens, la rêverie dans laquelle entraîne la lecture est proche de celle provoquée par celle de Saint-Exupéry: on sait que tout est imaginaire, mais on se laisse gentiment porter. Oui, "gentiment", comme par une fable ou un conte... et finalement, l'idée forte du texte (je vous laisse la deviner)... ne m'interpelle que peu. Je crois que j'ai lu trop de romans de SF forts, qui poussent la création d'univers et la magie narrative beaucoup plus loin, et que j'ai dépassé la sensibilité nécessaire.
Bref. Je reconnais que c'est un beau texte... mais il ne m'a pas vraiment parlé.
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